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Ecosistema Urbano repense la transformation urbaine de Grenoble

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Nous sommes heureux de vous annoncer que nous venons d’être sélectionnés pour le projet d’aménagement de la ZAC Flaubert à Grenoble, une grande et excitante aventure de renouvellement urbain au coeur même de la métropole grenobloise. C´est le résultat de notre collaboration avec Sathy, TN Plus, OGI (ingénierie), Res Publica,  et VPEAS.

Il s’agit d’un projet de renouvellement urbain sur un territoire jusqu’alors peu valorisé. La ZAC Flaubert est une zone de transition entre Nord et Sud et entre Est et Ouest de la ville, elle est traversée par de grands axes de circulations qui font de cette ZAC un espace au développement très stratégique. Dû à sa très grande surface (90 hectares) ce projet de grande envergure soulève de multiples enjeux pour la ville et ses habitants. Comment donner une identité à cette zone qui n’est actuellement qu’un assemblage artificiel de micro-identités de quartier ?

 

Le nouveau maire écologiste désire mettre tout en oeuvre pour intégrer les citoyens à la co-construction de cette zone et plus largement à leur ville. Pour ce projet, il a fait l’engagement de ne jamais cesser le dialogue avec les habitants, les riverains et les commerçants au cours de chacune des phases du projet. Il est également question d’élargir le panel à de nombreux acteurs économiques, institutionnels, académiques de Grenoble grâce à des débats et des discussions. L’objectif est d´échanger les points de vues et les différents avis sur l´avenir de Flaubert.

En juin dernier, lors de notre première visite, nous avons pu mieux comprendre les enjeux du territoire et observer de près la vie urbaine.

Notre objectif actuel est d´étudier en profondeur le projet, pour comprendre à quel point il est complexe et pour nous rendre compte des challenges qui nous attendent.

map

La zone de la ZAC dans Grenoble

Un des moments fort de cette visite fût la découverte de la Bifurk et de son “éco-système”, c’est un espace hybride où la vie bat son plein grâce à l’équipe et à de nombreuses associations très actives, qui ont su transformer cet ancien entrepôt industriel en un espace polymorphe où l´on peut trouver une grande diversité d’activités : théâtre, concerts, expositions et même un skatepark.  Juste à côté, “La Plage” est la première plage urbaine permanente construite en France. Dédiée à la pratique de sport de sable elle offre au Grenoblois un large choix de sports des plus conventionnels aux plus insolites.

 

BIFURK

baloncesto bifurk

En face de ces lieux emblématiques de la ZAC, il est question d’implanter la casa “Terra Nostra”, une maison en terre et bois construite par les étudiants des écoles d’architecture de Lyon et Grenoble. C’est une occasion de connecter au projet une infrastructure existante, en créant une espace dédié à l´urbanisation de Flaubert à l´intérieur de la maison.

KODAK Action Cam

Le prototype Terra Nostra

La force de Grenoble est son ouverture d’esprit avant-gardiste : innovante et créative, elle s’inscrit depuis deux décennies dans un programme promouvant une ville plus agréable, plus sociale, plus durable. À l’écoute de ses citoyens et à l’affût des innovations techniques, technologiques, sociales et économique, Grenoble est bien plus que la 11 ème métropole française. Elle est un exemple novateur d’une volonté politique et citoyenne visant à construire autrement la ville de demain. Plusieurs initiatives urbaines et citoyennes singulières ont profondément participé à la mutation de la ville et à sa nouvelle morphologie. Le changement passe par de “grandes actions” mais aussi par de “petites initiatives” qui accumulées donne à la ville une identité propre. La ville soutient chaque année plus de 600 actions qui se regroupent autour de trois grandes lignes directrices : favoriser la participation des habitants, lutter contre toute forme d’inégalités sociales, mettre en avant des territoires les plus fragilisés.

La forte volonté de faire participer les citoyens au renouvellement de Flaubert se place dans la continuité d’une politique ouverte aux  propositions de chacun et à l’écoute de ses citoyens. L´intégration de chaque partie prenante au projet permet de recentrer la ville sur ses usagers, de se focaliser sur la ville “à taille humaine”, faite avant tout pour ses habitants. Ce nouveau regard sur la ville et la re-qualification du cadre de vie qu’il engendre participe fortement à l’attractivité territoriale de Grenoble, souvent surnommée la “Capitale des Alpes”. Grenoble est un véritable laboratoire urbain : en 2005, le conseil a adopté un programme de rénovation urbaine soutenant les opérations de renouvellement urbains au sein de la ville en leur accordant un budget très conséquent. Illustrons cette singularité :

Une ville qui réinvente son architecture

La construction d’un des premiers éco-quartiers français dans l’ancienne caserne militaire de Bonne en plein centre ville ( 5 hectares) est un exemple qui concrétise le désir de concilier ville et environnement. Loisos Sava, architecte en chef du projet prône la réinvention de la façon de construire, offrant à la fois une baisse des dépenses énergétiques, une mixité sociale et une mixité fonctionnelle. Cet éco-quartier de nombreuses fois primé a notamment reçu en 2009 le Grand prix national “Ecoquartier” délivré par le ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la Mer. De plus, très récemment une vaste opération de révision du Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi) en 2015 a été opéré. Une des mesures phares de cette révision est la diminution de la hauteur maximale de construction.

zac de bonne

Une ville accessible et durable

Grenoble est également une ville pour tous, mettant au centre de ses préocupations l’accueil de tous les publics. En effet elle a été classée première ville de France sur le baromètre de l’accessibilité aux handicaps avec une moyenne de 18,7 et deuxième ville européenne. Grenoble a créé un service d’auto-partage de véhicules électriques appelé “CitéLib” en collaboration avec Toyota  qui souhaitait tester ici-même ce système de location unique au monde. Le but est de stimuler la multi-modalité de la ville, en effet ces véhicules 100% électriques servent à incrémenter l’offre de transports publics existants en proposant une solution alternative pour les “premiers et derniers kilomètres”.

Une ville qui s’engage

De plus, Grenoble a su marquer les esprits par une prise de position très forte en 2015. En effet, c’est la première ville européenne à bannir les publicités de ses rues, proposition qui a été soutenu par leur nouveau maire écologiste. La lutte contre la “pollution visuelle” prive la ville d’une manne de revenus importante. Des affichages dédiés aux activités culturelles et aux informations de la mairie remplacent les affichages actuels. De nombreuses autres villes voient en Grenoble un modèle à suivre.

Publicité Grenoble

Une ville innovante

Que ce soit au niveau national, européen ou international, Grenoble se démarque par son goût pour l’innovation. En effet Grenoble a reçu de nombreux prix et certifications à toutes les échelles:

National

En 2014, Grenoble a été labellisée “FrenchTech” ainsi que huit autres villes de l’hexagone. Ce label a pour but de donner une meilleure visibilité à l’international de l’attractivité technologique des villes françaises.

Européen

Grenoble a été, en 2014, sacrée deuxième ville la plus innovante d’Europe après Barcelone au concours pour le prix de la première capitale européenne de l’innovation. Ce prix vise à récompenser la ville qui offre le meilleur «écosystème d’innovation» en connectant les citoyens, les organismes publics, les établissements d’enseignement et les entreprises.

Mondial

Cette «iCapitale» a également été cité parmi les 15 villes les plus innovantes par le magazine Forbes en 2013.

Le quartier de la Presqu’île, au Nord de la ville est spécialisé dans les technologies de pointe. Cette Silicon Valley grenobloise est un véritable pôle d’attraction pour le reste de la ville et participe considérablement à sa renommée. La connexion du quartier de la presqu’île à la ZAC Flaubert constituerait une formidable opportunité pour le quartier objet de notre projet qui pourrait donc créer en son sein de nouvelles dynamiques. Ce n’est qu’une des propositions parmi tant d’autres, aucune piste n’est écartée, l’idée étant de procéder par étapes et de se donner un temps d’expérimentation afin d’envisager plusieurs hypothèses éventuelles.

Grenoble Presqu'île

Grenoble Presqu’île – image: www.grenoble.fr

Pour conclure, autant dire qu’en de nombreux points Grenoble sait se renouveler et imposer une nouvelle façon de penser la ville. Ces exemples inspirants et stimulants placent la barre très haut, le défi est grand et nous sommes honorés d’avoir l’opportunité de participer à l’élaboration de ce laboratoire urbain qu’est la ville de Grenoble.

teleferico-post

À bientôt pour plus de nouvelles sur ce projet ! 

 

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Comportements responsables et architecture scolaire

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Wrong way of using tecnologies

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Premier post relatif à la série EnvironnementScolaire. Mon intention est de suggérer des applications (potentiellement développables) qui hybrideraient décisions architecturales et contenus/dispositifs numériques. Les pistes abordées ici naissent d’une réflexion en relation avec le projet de centre d’éducation expérimentale de Reggio Emilia. Cependant, les thèmes explorés concernent tout type d’espace d’apprentissage: organisations saptiales, mémoire partagée, visusalisation de l’invisible, information sensorielle.

La réflexion sur l’architecture scolaire peut s’aborder depuis divers champs (territorial, social, culturel, économique…). L’une des constantes que nous allons explorer est la relation qu’entretiennent ces espaces dédiés avec l’éco-système dans lequel ils agissent. Selon Philippe Meirieu, expert français en sciences de l’éducation et de la pédagogie, attirer le regard des plus jeunes sur les enjeux environnementaux constitue une mission fondamentale. Cette préoccupation actuelle, dit-il, exige l’acquisition de “réflexes, comportements (…) nécessaires à la survie de la planète”. Il s’agit également “d’introduire une perspective nouvelle, une manière originale de penser le monde comme un système complexe” dans lequel chacun puisse être perçu comme un élément solidaire, puissant et actif. Bien que cet enseignement soit en mesure d’être transmis dans le cadre d’un enseignement traditionnel, nous pourrions imaginer que ces idées et pratiques puissent être transmises par le biais d’un support immersif: le bâtiment scolaire lui-même.

Visualisation ludique de données environnementales dans l’environnement scolaire

Avant d’être réellement conscient de la situation environnementale de notre planète, tout individu doit s’imprégner de connaissances relatives à divers domaines. Encore loin de ces préoccupations, l’enfant attribuera d’avantage d’importance à ses sens. Dans La Représentation de l’espace chez l’enfant (1972) Jean Piaget, spécialiste du développement infantile, explique qu’entre 2 et 6 ans s’adapte affective et intellectuellement au monde qui l’entoure grâce au jeu symbolique. Ainsi, un environnement architecturale conçu comme un instrument pédagogique pourrait-il aiguiller leurs comportements vers une certaine conscience et responsabilité?

Très tôt, l’enfant apprend à estimer la relation topographique entre les objets et la valeur fonctionnelle de certains éléments qui constituent l’espace construit proche (porte, fenêtre, interrupteur…). Mais la question de l’environnement souffre d’une dissimulation spatio-temporelle qui attribue à son urgence un caractère abstrait: les conséquences environnementales de nos actes sont rarement visualisables directement.

Que surviendrait-il si l’édifice scolaire révélait les flux, habituellement invisibles, de son activité? Par exemple, à travers la présence d’indicateurs de consommation énergétique ou de situations climatiques anormales… Et si nous imaginions une école augmentée de sentiments qui pourrait éprouver (et montrer) de la tristesse lorsque la lumière d’une salle vide resterait allumée? Ou bien lorsque les enfants laisseraient couler l’eau du robinet trop longtemps?

 

Responsabilité

Je pense que l’architecte ne pourra jamais imposer à la société civile l’adoption d’un comportement “responsable” selon ses convictions propres. Cependant, face à des usagers curieux, tel des enfants, provoquer l’emploi habituel de gestes durables me semble envisageable par le biais d’une expérience spatiale immersive durant/dans laquelle chacun s’implique en faisant ce qu’il aime.


1. Émetteur (enfant ou prof.)
2. Support de transmission de contenus numériques: donnée/images/son/vidéo
3. Récepteurs

Mais qu’entend-on par intégrer le numérique au milieu scolaire? Intégrer ou ajouter de tels dispositifs dans un espace donné signifie repenser la façon dont l’hybridation entre espaces physiques et espaces numériques s’opèrera. Aujourd’hui, dans les lieux de savoir, certains usages technologique reviennent:

– Production/gestion de mémoire (numérisation de contenus imprimés…); question des espaces de stockage.
– Favoriser l’innovation organisationnelle et la concertation entre acteurs de la communauté scolaire à travers le partage d’informations; création d’espaces de dialogue.
– Profiter de la ludicité de certains outils numériques et objets communicants pour capter l’attention de l’élève; on parles d’espaces augmentés.
– Comprendre l’historicité d’une technologie et développer la créativité par l’appropriation et l’expérience; espaces d’émancipation.


Générer, partager, archiver des données utiles à la modification et l’appropriation d’espaces scolaires disponibles. Ces “dossiers” numériques forment une extension de l’espace d’apprentissage initial à même de favoriser la constitution d’une plateforme de dialogue entre les acteurs de la communauté scolaire

Sur la base d’une cartographie des espaces “oubliés” (que personne n’utilise), les enfants pourront imaginer et proposer leur idées d’occupation. À Reggio Emilia, les enfants manipulent en permanence des matériaux et développent leurs sensibilités architecturales. L’expérience consistera à passer d’une maquette à une petite construction collective éphémère.

1. Espace initial
2. Volume oublié (forme complexe): visualisation numérique
3. Volume disponible simplifié
4. Échelle à partir d’une figurine
5. Maquette à modéliser (scan ou photogrammétrie)
6. Intégration, adaptation et construction

Percevoir l’invisible

En vivant dans un espace, l’individu développe des automatismes. La conception architecturale repose sur l’emploi d’éléments aux performances mécaniques complexes et aux impacts variables. Dans de nombreux cas, les solutions proposées tendent à éloigner l’usager de l’impact environnemental de ses actes. Mais l’environnement scolaire pourrait constituer une interface ludique et symbolique entre l’apprenant et son milieu. Acquérir cette conscience en intervenant (régulant) le foncitionnment d’un microcosme (le bâtiment) est une façon didactique d’introduire les notions de “système” et de globalité” qui aujourd’hui comptent. Chaque besoin ou plaisir individuel se transformerait alors en un “exercice” de résolution d’un “problème” global. Biensur, pour un enfant tout devra avoir l’air d’être un jeu!

Plein / vide, beaucoup / peu, froid / chaud, douloureux / agréable, haut / bas, long / court…

Cette application a pour objectif d’enseigner la juste consommation de l’eau et de l’électricité à l’école. Entre abstaction et figuration, par l’utilisation de dispositifs analogiques et numériques , le support architectural permettra la combinaison de vocabulaires graphiques compréhensibles par de jeunes usagers

Pour la majeur partie des consommateurs, le fonctionnement des productions industrielles et architecturales reste abstrait. Il s’agit de révéler le “squelette” et les “organes” qui sont à l’origine du confort qu’offre le bâtiment. Des parcours (eau, air, électricité…) d’habitude cachés convertis en outils pédagogiques.

Support architecturaux augmentés (numérique et analogiquement)/  Il s’agit d’associer des données climatiques essentielles (peut être évidentes pour un public adulte) à des actions quotidiennes et des faits concrets: quoi manger? comment s’habiller? que faire pour profiter de l’extérieur? comment adapter l’espace intérieur à l’environnement extérieur?…

Lors de la conférence organisé par Ars Industrialis durant le Salon européen de l’éducation 2012 (Paris) et intitulée L’éducation, vingt ans après l’apparition du World Wide Weble philosophe Bernard Stiegler partageais qu’il était…

… absolument hostile à l’introduction du numérique dans les niveaux élémentaires pour une raison méthodologique qui consiste à dire que pour pratiquer une technologie, il faut connaître les technologies qui ont permit leur production. Si non, on ne peut pas avoir (…) un point de vue critique. La condition de la critique est la connaissance et la compréhension de l’historicité d’une chose. Le contenu des programmes scolaires se fonde sur cette base.

Et il est vrai qu’offrir à l’espace scolaire un lot technologique développé par les acteurs du marché de l’Education présente un danger: celui d’octroyer une majeure importance au statut de moyen technique de l’outil au lieu de valoriser l’environnement socio-technique qu’il enrichit. Dans ces premières propositions destinées à un environnement préscolaire, j’ai tenté de clarifier la possible relation entre la donnée numérique et son contexte pratique de génération et/ou d’utilisation. Disons simplement que si usage désinformé de technologies il y a, la dimension magique du processus numérique devrait en tout les cas s’avérer minime par rapport à l’importance (complexité) de l’information concrète perçue.

Pour finir, je vous laisse apprécier un extrait du vocabulaire d’Ars Industrialis:

Écologie (de l’esprit).

La discipline nommée « écologie » n’est pas tant la science du milieu que celle des relations d’un être vivant à son milieu. L’écologie, telle que nous la définissons, n’est ni la science d’unenvironnement objectif, ni la protection de ressources quantifiables, ni même la question de la nature, car la question de l’écologie est celle de la culture avant d’être celle de la nature.

 Si l’esprit a un milieu qui évolue, et si ce milieu est originairement technique (du silex taillé au silicium des ordinateurs en passant par le biblion du Saint Esprit), alors, de même qu’il faut se soucier de la qualité des milieux naturels afin de préserver leur fécondité future, de même, il faut se soucier de la nature des milieux psychotechniques dans lesquels naissent et se développent de futurs esprits. Il faut présentement aborder la question écologique à partir du capitalisme culturel. Notre milieu de vie est définitivement industriel, et cette industrie est désormais le milieu de notre culture, c’est à dire de notre esprit, et c’est pourquoi nous parlons d’écologie industrielle de l’esprit. De ce point de vue écologique, la question esthétique, la question politique et la questionindustrielle n’en font qu’une.

L’écologie de la nature est une dimension de la question de l’écologie de l’esprit, c’est à dire d’une écologie générale des milieux : naturels, techniques, institutionnels, symboliques, etc. L’écologie de l’esprit conditionne en effet la résolution des problèmes d’écologie naturelle : si l’on veut modifier leur comportement, il faut changer l’esprit des consommateurs qui détruisent et jettent avant tout pour compenser une misère symbolique systémiquement installée et entretenue par des industries culturelles toxiques.

 Autrement dit, la véritable question de l’écologie n’est pas celle de l’énergie de subsistance (épuisement des ressources fossiles), mais celle de l’énergie d’existence (épuisement de l’énergie libidinale).

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Shanghai Air Tree | Le premier projet d’architecture Creative Commons

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Nous reproduisons par la suite un article du blog français complexitys qui présente notre projet Air Tree Commons:

Nous avons le plaisir d’annoncer la publication du premier projet d’architecture entièrement Creative Commons par l’agence espagnole Ecosistema Urbano: il s’agit de l’Air Tree (Arbre d’Air) dessiné pour le pavillon de la ville de Madrid à l’Expo Shanghai 2010.

Cela signifie que désormais n’importe quel architecte, agence d’architecture, mairie ou institution, pourra librement télécharger tout les dessins d’exécutions de l’Arbre d’Air et ensuite modifier le projet, le construire et, bien sur, le revendre.
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dreamhamar online workshops | inscriptions ouvertes

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Nous invitons les étudiants, les architectes et les créatifs de tout le monde à participer au processus de création collective dreamhamar, en s’inscrivant aux workshops en ligne que nous décrivons par la suite.
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Ecosistema Urbano + KOZ | Les nouveaux équipements, une exposition à Paris

Category: ⚐ FR+architecture+urban social design

Ecosistema Urbano participe avec KOZ Architectes à l’exposition “Nouveaux équipements à Paris” qui ouvrira le 19 mai au Pavillon de l’Arsenal à Paris. L’exposition présente en plans, images de synthèse et maquettes, les propositions de 30 équipes d’architectes pour imaginer six nouveaux équipements à Paris.

Parmi les projets présentés, nous profitons pour partager avec nos lecteurs celui que nous avons développé, en collaboration avec KOZ, dans le cadre d’un concours pour la construction d’un centre d’animation et aménagement de terrains sportifs à rue Mouraud dans le 20ème arrondissement. continue reading

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VILLES 2.0 | CONSTRUIS TA VILLE TOI-MÊME!

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Aujourd’hui nous avons le plaisir de partager avec nos lecteurs un travail sur les VILLES 2.0 de l’architecte-urbaniste Concetta Sangrigoli (agence Oikos).

Voici un petit résumé de l’article titré “CONSTRUIS TA VILLE TOI-MÊME!” que vous pouvez trouver en version intégrale ci-dessous où bien directement sur scribd:

LE RÉSEAU SORT DANS LA RUE. GRÂCE À CES NOUVELLES TECHNOLOGIES, UN MODÈLE URBAIN, PLUS HUMAIN ET PLUS PARTICIPATIF, EST POSSIBLE. IL RESTE À INVENTER.
La ville de demain existe déjà, mais par petits morceaux épars. D’expériences pilotes en tentatives avant-gardistes, en France et ailleurs – et surtout ailleurs ! – se dresse le portrait-robot de l’urbanité du xxie siècle : conviviale, familiale
et participative. Elle ne nécessite pas tant des moyens supplémentaires qu’un état d’esprit ouvert et sans tabou. Les nouvelles technologies, si l’on sait s’en emparer, peuvent transformer nos villes en îlots de bien-être collectif, loin des mégalopoles déshumanisées que la sciencefiction aime à nous jeter à la figure. À partir de la simple observation du réel, imaginons ensemble de quoi notre avenir proche pourrait être fait. À condition de ne pas laisser une question supposée technique aux mains des seuls techniciens ! continue reading

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22 logements+crèche à Paris: KOZ+ecosistema urbano

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Aujourd’hui nous vous présentons notre proposition pour un immeuble de logements + crèche + jardin pour Paris Habitat, présentée en collaboration avec l’agence d’architecture parisienne KOZ.
Paris Habitat Koz-eu

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what if nantes saint-nazaire

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Le premier avril 2010 a été mis en place le premier projet de ecosistema urbano sur le territoire français. Il s’agit d’une participation à l’exposition « Petite Planète » organisée par la SAMOA et le SCOT de Nantes Saint-Nazaire. L’exposition a lieu dans la nouvelle école d’architecture de Nantes, projet de l’agence française Lacaton & Vassal. continue reading